Une consommation responsable, c’est se questionner à propos de ce dont on a besoin, c’est choisir, dans la mesure de ses possibilités, ce qui favorise des liens de proximité, ce qui respecte les travailleurs dans les circuits de production et de commercialisation, ce qui limite l’utilisation d’énergie fossile, source de gaz à effet de serre, ce qui respecte l’environnement… Ce dont des choix en terme de mobilité, en terme d’économie d’énergie et d’eau dans l’habitat ou dans l'alimentation et dans nos actes quotidiens

• Utiliser les fruits et légumes « moches », cuisiner les épluchures[1]
• Savoir conserver et accommoder  les restes, choisir le contenu des repas en fonction des durées de conservation
• Choisir des produits recyclés, recyclables, locaux, de saison[2], équitables, peu énergivores, durables[3]
• Réutiliser les sacs jetables (ceux pour les légumes par exemple)
• Refuser la publicité dans sa boite aux lettres

• Organiser des repas collectifs avec des produits alimentaires sains mis au rebut parce que difformes[4]
• Mettre en commun des objets, des équipements pouvant être utile à ses voisins, à ses amis

• Participer aux initiatives à l’échelle de la commune (voir § une économie au service de l’humain)
• Participer aux réseaux de consommation collaborative[5]

• Militer dans les associations de défense des travailleurs et du cadre de vie (voir § une économie au service de l’humain)